Sahar Namazikhah

Iran

  • Année de programme
  • 2005-06
  • Pays de résidence actuelle
  • États-Unis
  • Ville de résidence actuelle
  • Washington DC
  • Position actuelle
  • Directrice de programmes iraniens
  • Organisation
  • George Mason University's Center for Diplomacy and Conflict Resolution
  • Profession(s)
  • Journaliste

  • Secteur(s)
  • Égalité des sexes, Journalisme
  • Langue(s)
  • Anglais, Français, Arabe
  • Intérêt(s) / Expertise
  • droit de la personne, droits de la personne, journalisme, religions comparatives
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Biographie

Sahar est journaliste depuis qu’elle a 19 ans, âge auquel elle a fini l’école de journalisme puis entrepris un baccalauréat en littérature et en langue françaises avant de commencer comme journaliste politique au SALAM, l’unique quotidien réformiste indépendant de l’époque en Iran. Elle a continué à faire du journalisme social tout en rédigeant sa thèse de maîtrise en droits de la personne sur la religion et le mysticisme comparatifs. À 24 ans, elle est devenue rédactrice et, quatre ans plus tard, rédactrice en chef. Elle a travaillé pour de grands quotidiens indépendants et non gouvernementaux en Iran, notamment Shargh, HamMihan, Neshat, Asr-e-Azadegan, Akhbar-e-Eghtesad, Bonyan et Hamshahri.

En juin 2006, Sahar a fait une présentation intitulée « The Appearance of the First Women’s Media and NGOs after the Constitutional Revolution in Iran » au 17e congrès international annuel de l’Iranian Women’s Studies Foundation à l’Université Concordia de Montréal et elle a été invitée comme experte en médias et religions au congrès international sur les « religions dans le monde après le 11 septembre ».

En plus de travailler comme journaliste et d’écrire, elle fait depuis 2006 des recherches pour un projet de livre mené à la California State University of Northridge.

En tant que Boursier

En tant que Boursière Sauvé, elle a effectué une étude, en collaboration avec le Département de sociologie de McGill, sur « les immigrantes iraniennes dans la société civile canadienne » en mettant l’accent sur celles qui vivaient à Montréal en 2005-2006 et leur contribution à la société civile du Canada. À la question « Pourquoi les activistes immigrantes préfèrent-elles jouer un rôle social plutôt que politique? », elle a conclu que le gouvernement canadien devrait mettre en place des politiques spécifiques pour intégrer les immigrantes dans la société civile canadienne et développer des relations entre les communautés canadiennes, en particulier les ONG et les syndicats, et les immigrants.

Sahar est profondément convaincue que son expérience comme Boursière Sauvé l’a mise en contact avec un nouveau mode de pensée et lui a permis de poursuivre ses buts et ses rêves.

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